La 'Singularité de la Shoah' selon François Hollande.

Le 'Travail de Mémoire', d'après notre Président de la République, donne ceci : Beria fut khazar et criminel ; par conséquent, Hollande, qui est khazar aussi, doit être criminel aussi. C'est simple, l'histoire, non ? Non, Monsieur le Président, c'est loin d'être simple. Laissez donc l'histoire ... aux historiens !

« Un crime commis en France par la France à l'encontre des Juifs. » Voilà comment François Hollande résuma dans son discours du dimanche 22 juillet 2012 ce qu'il est convenu d'appeler ‘La grande rafle du Vel ' d'Hiv'. Le ‘ Vel d'Hiv' est en fait le Vélodrome d'Hiver, dans le XV° arrondissement de Paris. Nous ne savons pas qui, le premier, a inventé ce raccourci ‘ Vel ' d'Hiv', mais cela sonne très israélien à notre oreille. Comme si ce n'était pas loin de Tel-Aviv, c'est-à-dire chez eux.

Eux, c'est les Khazars, ce peuple sanguinaire qui sème le conflit et la destruction dans le monde depuis des siècles. François Hollande en fait partie. Felix Dzerjinski en faisait partie. Lavrenti Beria aussi.

Tout le monde (sauf Bradley Wiggins) connaît désormais François Hollande, puisqu'il a été élu Président de la République afin de prendre la place à Nicolas Sarkozy. Pour ceux qui ne connaissent pas Dzerjinski ou Beria, faisons un petit « travail commun de mémoire », pour reprendre la délicieuse expression de notre nouveau Président.

Felix Dzerjinski (1877-1926, photo ci-dessus) fonda et dirigea la Tcheka de 1917 à 1922, puis la Guépéou de 1922 à 1926. Lavrenti Beria (1899-1953, photo à côté de F.Hollande en tête d'article), fut chef du NKVD de 1938 à 1953. Pour ceux qui ne connaissent pas non plus la Tcheka, la Guépéou ou le NKVD, nous montrons quelques photos de leurs œuvres.

La première photo est prise à Kiev (Ukraine) en 1919, au N°5 de la rue Sadovaïa, après la retraite de l'Armée rouge. Il y avait ici un centre de la Tcheka. On voit clairement ce qu'on y faisait. La Gestapo, vous connaissez, on vous en parle beaucoup. Ici, on faisait mieux. Mais on ne vous en parle jamais. Le 'travail de mémoire' peut être parfois très sélectif. Surtout quand ce sont les bourreaux eux-mêmes qui rédigent les manuels scolaires.

La deuxième photo est prise à Katyn (Russie) en avril 1943. Les Allemands y découvrent dans des fosses les cadavres de 4 500 officiers polonais. Une commission de la Croix-Rouge conclut à leur exécution par les Soviétiques, au printemps 1940. Au total il y eut environ 25 000 disparus. C'est le NKVD maintenant, ce n'est plus la Tcheka, mais peu importe, c'est les mêmes. Et ça se voit. Si monumentum requiris, circumspice.

La troisième photo est prise à Vinnitsa (Ukraine) en juin 1943. Des fosses datant de 1937-1939 contenant plusieurs centaines de cadavres sont ouvertes. Sur leur emplacement, les autorités soviétiques avaient installé un parc de culture et de repos et un théâtre d'été. A Jitomir, Kamenets-Podolskii etc., des fosses semblables furent découvertes. Même à notre époque, de telles macabres découvertes sont courantes : à l'été 1997, 1 100 corps ont été exhumés près de Saint-Pétersbourg, puis 9 000 autres dans un charnier dans la forêt de Carélie (nord-ouest de la Russie).

Tous ces gens sont des victimes du communisme, système totalitaire et criminel qui a fait environ 100 millions de morts au cours du XX° siècle, donc beaucoup plus que le nazisme. Le communisme est né en Russie. Ses chefs, ses concepteurs, ses criminels tueurs, étaient le plus souvent des Khazars, comme François Hollande. Mr Hollande, lui, les appelle 'Juifs', plutôt que 'Khazars'. Ce sont donc (selon son raisonnement et son langage à lui) des crimes commis en Russie et en Ukraine, par des (prétendus) Juifs. A tel point furent ces Juifs/Khazars (au choix !) impliqués dans ces crimes de masse que, lorsque les Russes ou les Ukrainiens se révoltaient contre le pouvoir communiste, leur slogan favori était « Mort aux Bolcheviks ! Mort aux Youpins  ! »

Les Khazars aiment se faire passer pour des ‘Juifs', alors qu'ils ne sont ni issus de la Judée, ni des pratiquants du Judaïsme, (religion qui abhorre l'Etat d'Israël), donc pas Juifs du tout. Un Khazar est un Khazar. Il se fait passer pour quelque chose qu'il n'est nullement. La vérité est dure, cruelle. Comme les Khazars l'ont été tout au long du XX° siècle. François Hollande est un Khazar, tout comme sa compagne Valérie Trierweiler, tout comme son prédécesseur Nicolas Sarkozy, tout comme la première, puis la deuxième, puis encore la troisième épouse de ce dernier, oui, c'est comme ça, ils se marient le plus souvent entre eux, pour garder le sang pur de leur ethnie khazare. Le métissage, ils n'aiment pas bien, du moins, pas chez eux, pas chez les Khazars. Ils restent, en somme, entre criminels à perpétuité.

Mais revenons au discours, truffé d'approximations et de mensonges, de François Hollande, notre Président khazar de France, ce 22 juillet 2012. Selon ce discours, seuls les Français (la ‘France' du discours, c'est bien cela, c'est 'les Français', donc c'est vous et c'est moi) sont coupables. Nous sommes coupables. Les autres, les ‘Juifs', sont des victimes. On doit donc en déduire que ces ‘Juifs' ne sont pas des Français. L'hypocrisie du discours nous assène pourtant que « La vérité ne divise pas, elle rassemble. » De là à nous expliquer que le travail nous rend libres, il n'y a qu'un pas ... d'oie. Alors que l'objectif est justement ceci : diviser la population de la France, monter les gens les uns contre les autres : « Toi, tu es coupable ! Lui, il est innocent !» Et la preuve de son innocence, c'est qu'il porte la kippa. Mais on ne cherche pas à vous diviser, non, non, mille fois non. Parole de Khazar.

On aimerait bien pouvoir aimer ce François Hollande. On n'aimait pas du tout son lugubre

prédécesseur, donc l'aimer, lui, cela nous changerait agréablement. Il n'a pas l'air méchant, à la différence de Nicolas Sarkozy, qui le portait sur lui. Heureusement que le "pauv' con" s'est cassé, enfin, et qu'on a ce sympathique Mr Hollande en lieu et place. Puis, de toute façon, ce n'est nullement François Hollande qui a écrit ce discours maléfique, mais plutôt ses amis de la LICRA. Ecoutons-les : « Il n'y aura pas un établissement scolaire où la Shoah ne puisse être enseignée. Il n'y aura pas de mémoire perdue. » Joli programme scolaire. On va bien s'amuser, hein, les enfants ? Et l'hypocrisie innée de ces gens lève encore la tête quelques lignes plus loin  : « Il faut lutter sans relâche contre toute forme de falsification. »

Voyons ! C'est là, justement, où le bât khazar nous blesse. Revenons à la deuxième photo, celle de Katyn. Nous devons préciser que, symbole du meurtre de masse, Katyn est aussi celui du mensonge négateur : jusqu'en 1989, le gouvernement communiste en Pologne et les communistes du monde entier attribuèrent le massacre aux Allemands. Pour « les communistes du monde entier » vous pouvez lire « la presse mondiale, aux mains du lobby khazar ». Vous avez dit "falsification" ?

Qui nous annoncera donc cette « vérité dure et cruelle » de l'histoire à laquelle se réfère notre Président de la République dans son beau discours ? Lui-même ? La presse khazare? C'est une vaste plaisanterie, Monsieur Hollande, mais vous nous prenez pour qui, nous, les Français ? On vous a élu, mais on n'est pas des idiots pour autant, quoi que vous puissiez en penser.

Il n'appartient pas aux politiciens de nous dire l'histoire, mais plutôt aux historiens. Des historiens classés de gauche, de droite, communistes, capitalistes, royalistes, ou même khazars, peu importe la couleur de l'étiquette, ils ont tous leur mot à dire. L'essentiel, c'est qu'ils puissent s'exprimer tous, afin que l'honnête citoyen puisse à son tour se forger une opinion. Et c'est cela, justement, que vos amis de la LICRA ne veulent pas.

Puis, étant en France, Monsieur le Président, nous aimerions que nos enfants étudient des sujets plus inspirateurs que votre Shoah Business. Déjà, à la télé, il y a Spielberg et Schindler, donc en classe on voudrait qu'ils connaissent autre chose, Victor Hugo, par exemple, tiens, voilà un Français ! Un vrai de vrai. Ecoutons-le un instant :

"Le million gobé fait mordre au milliard. On arrive au lingot en partant du liard. Puis carrosses, palais, bals, festins, opulence. On s'attache au pouvoir et l'on mange la France." Cela leur parle beaucoup plus, à nos enfants français. Et peut-être aussi à leurs députés et ministres, qu'en pensez-vous, Monsieur le Président ?

Selon le genre de raisonnement primaire (et raciste) qui sous-tend ce discours lamentable de François Hollande, il y a les bons d'un côté, puis les mauvais de l'autre. Selon cette logique, lui, Khazar, doit être mauvais comme Dzerjinski et Beria furent mauvais, ou comme leur chef, Lénine (encore un Khazar !), fut mauvais. S'ils vous racontent que les photos ci-dessus sont simplement l'illustration de ‘débordements' ou de ‘bavures' chez les communistes, ne les écoutez surtout pas. La terreur, le meurtre de masse étaient les pratiques habituelles des Bolcheviks, leur marque de fabrique. Comme disait Lénine, un des plus grands tueurs de tous les temps : « Un bon communiste est également un bon tchékhiste.» Vous avez vu les photos ? Tout est donc dit sur le communisme, selon Lénine, ce Khazar.

Ouvrons, pour finir, le Petit Larousse Illustré, véritable condensé du génie de la France. Lisons ensemble, les enfants, faisons ce travail commun, on peut apprendre des choses intéressantes. Comme ceci, par exemple : « Vel ' d'Hiv (rafle du). 16-17 juillet 1942. Arrestation de Juifs étrangers qui eut lieu à Paris, sur ordre des autorités allemandes, avec la collaboration de la police parisienne. »

François Hollande : « La vérité est dure, cruelle. Mais la vérité, c'est que la police française, sur la base des listes qu'elle avait elle-même établies, s'est chargée d'arrêter des milliers d'innocents. »

La vérité est dure, cruelle, Monsieur le Président. La vérité, c'est que vous êtes un menteur et un imbécile. Nous, on ne dira pas que vous mentez parce que vous êtes un Khazar. On dira simplement que vous mentez et que vous nous faites honte. Ca commence bien, votre truc. Peut mieux faire !

John Hodgkinson. Le 13 juillet 2012. Lachamp Raphaël.