Une minute de silence dans les établissements scolaires le 20 mars 2012 suite à la tuerie de Toulouse.

 

Une Elève de Troisième à Vaulx-En-Velin (Rhône) :

« Je ne me lèverai pas pour des Juifs ! »

 

Elle a raison. Voici pourquoi.

 

Agnès Bidot, professeur de français au collège George-Sand de Châtellerault (Vienne) : « Dans notre établissement, trois élèves de troisième ont refusé de se lever au nom des « enfants morts en Palestine » qui, eux, n'ont pas droit à de tels égards. Pour moi, c'était une douche froide. Cela fait des années que, avec les profs d'histoire, on se décarcasse pour briser l'ignorance et les idées reçues sur la Shoa, à travers des rencontres avec des survivants ou des voyages scolaires en Pologne. Malgré cela, ces jeunes filles n'ont pas eu assez de culture et de recul pour faire le parallèle entre la tuerie de Toulouse et l'histoire. »

Sans parler du fait que Montauban et Toulouse étaient sans doute des coups montés par les services secrets, peut-être même ceux du Mossad, et ce dans une tentative désespérée de relancer la campagne électorale de Nicolas Sarkozy, il est évident pour quiconque est sorti des sentiers battus de la presse khazare et de sa désinformation permanente que c'est plutôt Mme Bidot qui manque de recul et de culture.

Dans un lycée professionnel de la région lilloise, une enseignante qui préfère garder l'anonymat, sans doute de crainte de s'attirer les foudres de la police politique khazare, annonce avec plus de circonspection déjà : « On n'en est pas fiers, mais on ne l'a pas fait parce qu'on n'avait pas envie d'avoir à gérer le débat qu'il y aurait eu après. Dès que tu parles de Juifs, ça provoque des réactions agressives, voire clairement antisémites. En tant que prof de maths, je ne me sentais pas assez formée pour me taper une heure de récriminations sur Israël et la bande de Gaza, la Shoa et le massacre de Sabra et Chatila. »

A Reims, le Procureur de la République, Fabrice Belargent, sans craindre le ridicule, a ouvert une enquête judiciaire à l'encontre de quatre élèves de cinquième et de quatrième. Scolarisés dans trois établissements différents, un classé ZEP et deux « plutôt mixtes socialement », ils ont refusé de participer au recueillement au motif que les victimes étaient juives. L'un d'eux se serait écrié : « Qu'ils crament tous ! » D'autres profs ont entendu « des insultes à caractère antisémite ». A Saint-Etienne (Loire), un élève de seconde s'est indigné : « Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre, que des Juifs soient morts ? » A Gap (Hautes-Alpes), un gamin de cinquième s'est demandé : « Pourquoi on devrait pleurer pour des Juifs ? »

Contrairement à ce qu'affirme Luc Chatel, le caniche de Sarkozy et du lobby khazar, « La majorité des établissements du département semblent n'avoir pas respecté la minute de silence en Seine-Saint-Denis », selon Loïc Vatan, responsable du Snalc.

Notre Police de la Pensée nous enseigne que les races n'existent pas, mais il faudrait à tout prix les mélanger. « Le métissage, c'est notre chance ! » s'écria Jean-Luc Mélenchon, communiste préhistorique jamais à court d'une provocation, sur le David à Marseille dimanche dernier 15 avril. En dépit de ce vaste programme qui, lui, est vraiment raciste, les gens gardent le sens de leur identité. Un Arabe reste un Arabe et un Juif reste un Juif. Cette minute de silence, imposée au nom d'une religion (le Judaïsme) dans des écoles prétendument laïques, ne pouvait que provoquer des sentiments de rejet et de haine. C'est d'ailleurs pour cela, justement, qu'elle a été imposée. En attendant, les Juifs ont enterré leurs morts chez les Juifs, en Judée (Jérusalem), et la dépouille de l'Arabe Mohamed Merah (qui est innocent jusqu'à preuve du contraire) a été mise en terre chez les Arabes, en Algérie. Les Arabes vivant en France resteront toujours arabes et n'oublieront jamais Sabra et Chatila, Deir Yassine et tout le catalogue de massacres de leurs innocents organisés ou

Se lèveront-ils pour observer une minute de silence en faveur des enfants libyens qu'ils ont massacrés par 'volontaires' interposés ? Certainement pas. De gauche à droite, en vacances sur le yacht du dénommé marchand de mort : Ziad Takieddine (marchand d'armes, intime de Sarkozy), Dominique Desseigne (patron du Fouquet's) et Thierry Gaubert (collaborateur de Sarkozy, condamné pour escroquerie sur le 1% logement). Une racaille à karcheriser au plus tôt.

perpétrés par les Sionistes. Le vrai problème, c'est Internet. Si seulement cet instrument encombrant n'existait pas, on pourrait formater les gens, et surtout les jeunes, à souhait. Ce qui nous encourage, nous autres démocrates, c'est de voir justement que, à travers cet outil formidable de démocratisation qu'est la Toile, la jeunesse d'aujourd'hui acquiert une culture politique qui était impensable pour les générations précédentes. Voilà le combat politique le plus vital aujourd'hui : préserver et développer la liberté d'expression, cette tradition qui nous est léguée par Diderot et Voltaire, Hugo et Zola, grands esprits français qui, tous, ont eu maille à partir avec le pouvoir de leur époque.

Je ne me serais certainement pas levé « pour des Juifs », moi non plus, mais pour d'autres raisons. Pas parce que les Juifs ne sont pas des victimes. Ils le sont, et le cri de douleur du père d'un des enfants morts, que j'ai entendu à la télévision lors des funérailles à Jérusalem, m'a fendu le cœur. On ne peut rester insensible à une telle douleur. Mais le vrai problème est ailleurs. Un Juif, on ne saurait assez insister là-dessus, est une personne issue de la Judée ou pratiquant le Judaïsme, ou parfois (mais il s'agit là d'une petite minorité) les deux en même temps. L' Etat d'Israël est un blasphème pour les vrais Juifs, et c'est bien ces derniers qui sont sacrifiés en permanence pour justifier l'existence et les pratiques racistes de cet Etat fasciste, fomenteur perpétuel de guerres et de troubles sociaux. Seulement, avant de pleurer des enfants juifs morts pour la campagne électorale du hideux belliciste Sarkozy et de sa mafia khazare, Copé et Gaubert en tête, véritables sangsues collées sur le corps de la France, nous devons pleurer – et ceci chaque jour – les enfants libyens, syriens et, si nous ne faisons pas attention, bientôt iraniens, sacrifiés dans l'Holocauste permanente organisée par les Sionistes ennemis de l'Humanité tout entière. Que l'un des amis les plus proches de Sarkozy,

Ziad Takieddine, marchand d'armes impliqué dans l'affaire Karachi-Balladur. Ami de la guerre et de la corruption. Ami de Sarkozy.

soit un dénommé Ziad Takieddine, marchand d'armes de son état, en dit long sur le programme mondial que nous réservent ces monstres une fois au pouvoir. C'est pour cette raison-là, sans pouvoir l'exprimer aussi clairement, que l'élève de troisième à Vaulx-en-Velin, qui est indubitablement une jeune fille arabe, s'est refusée à « se lever pour des Juifs ». Elle avait raison, et je tiens à saluer l'esprit civique de cette jeune fille arabe qui défend si courageusement son peuple et leur identité face au racisme institutionnalisé. Tout en étant d'un peuple et d'une religion différents des miens, elle reste ma sœur spirituelle, exactement comme le père de l'enfant juif sacrifié à Toulouse pour la réélection de Sarkozy reste et restera, malgré tous les efforts déployés par les Sionistes pour me le faire haïr, mon frère lui aussi.

Etudiants libyens de la faculté de Tripoli morts sous les bombes de l'Otan. Pour eux, ce n'est pas une minute de silence mais plutôt un silence éternel qui est observé dans la presse khazare de France. Voilà la "guerre sans le vouloir" de Sarkozy et de Bernard Henri-Lévy. Ce sont des criminels de guerre, et les Arabes de France le savent fort bien grâce à Internet. On ne se lèvera pas pour faire plaisir à de telles ordures.

                                                                 John Hodgkinson. Le 18 avril 2012.