Frédéric Mitterrand : un menteur pathologique et un malade mental.

 

Interrogé jeudi 8 octobre 2009 sur TF1 par Laurence Ferrari au sujet de son livre ‘Une Mauvaise Vie', Frédéric Mitterrand a donné une leçon de mauvaise foi à huit millions de téléspectateurs. Finalement, son livre n'est plus un récit autobiographique mais plutôt un « tract » décrivant les expériences de quelqu'un qui lui ressemble mais qui n'est pas lui. C'est pour le moins étrange ! Notre champion de la pédophilie s'est même offusqué du sort qui lui est réservé par certains commentateurs. « L'amalgame auquel je suis confronté est d'une totale injustice, qui voudrait que les garçons (NDLR : avec lesquels il a eu des rapports   tarifés en Thaïlande) soient des mineurs. »   « Je condamne absolument la pédophilie ! » s'insurgea -t-il. Or, il suffit de relire le passage incriminé de son livre pour savoir que les « jeunes garçons » avec qui il forniquait n'avaient pas, comme il le prétend maintenant, franc comme un âne qui recule, « quarante ans ». D'abord, une référence littéraire dans son livre : « Tous ces rituels de foire aux éphèbes , de marché aux esclaves, m'excitent énormément. » Les éphèbes, en Grèce antique, étaient de jeunes hommes qui avaient entre 18 et 20 ans. Mr Mitterrand, qui n'est pas inculte, le sait pertinemment. Une limite d'âge de vingt ans n'a rien à voir avec les déclarations actuelles de Mr Mitterrand selon lesquelles les « garçons » en question avaient son âge (40 ans), ou au maximum cinq ans de moins. Plus il parle – comme tous les criminels, d'ailleurs – mieux il se confond. Mais dans le texte incriminé, il n'y a pas que les mots « garçons » et « éphèbes ». Il y a aussi ceci : « Je sais les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n'en retirent que des miettes. » Mr Mitterrand va-t-il maintenant nous déclarer que, selon son langage à lui, un « gosse » a environ quarante ans ? En français, le mot « gosse » est synonyme du mot « enfant ». Mr Mitterrand se payait donc des relations sexuelles avec des enfants. Dans son univers à lui, il n'y a peut-être aucune contradiction quand il déclare : « Je condamne absolument la pédophilie » puisque, reconnaîtra-t-il, il fait partie des damnés de la Terre, et il est capable de se condamner lui-même, tout en trouvant cela « très honnête, très sincère ». Il ne peut toutefois nier – et il ne nie pas – qu'il défend Roman Polanski, pédophile reconnu. Mais là aussi il va se livrer à toutes sortes de soubresauts sémantiques pour nous convaincre que son « honneur » est intact. « Je suis en train de défendre d'une certaine manière mon honneur » nous lança-t-il sur TF1 hier soir. Oui, « d'une certaine manière ». Enfin, plus grave, il nous défie de le condamner et de « jeter la pierre » puisque nous sommes tous, selon Mr Mitterrand, aussi coupables que lui-même. Pour ma part, je ne suis pas pédophile. La majorité de mes concitoyens non plus. La seule conclusion que nous puissions tirer de cet entretien télévisé est que Frédéric Mitterrand est un menteur pathologique et un véritable malade mental, qui projette sa maladie sur l'ensemble de la population. Voilà donc la profession de foi de cet homme « sincère et honnête » et tant admiré par le Président Sarkozy. Cela représente désormais notre ‘culture'.   Un ‘nouvel ordre' est ainsi instauré en France : l'ordre immoral.

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