Jean-Yves Coquillat : Un Procureur Ripou Dans Ses (Très Basses) Oeuvres.


"Quelle que soit la douleur des familles ... je rigole encore !" Crapule.

 

Mardi 22 avril 2014. 21 heures au Coméo, siège national du Parti Radical de France. Madame le Capitaine Emilie Vinot entre en scène.

"C'est vous, Mr Hodgkinson ?"

"Oui, c'est moi. Pourquoi ?"

"Vous êtes en garde à vue !"

"Ah, bon ! Pour quoi faire ?"

"Parce que vous avez menacé de mort un magistrat !"

"Tiens ! C'est nouveau. Lequel ?"

"Je ne sais pas !"

"Quand ?"

"Aujourd'hui !"

"Mais où ?"

"Sur votre site internet !"

"Et c'est quoi exactement, ces menaces de mort ?"

"Je ne peux pas vous dire ! On verra ça plus tard ..."

En effet, nous avons vu ça beaucoup plus tard, quatorze heures plus tard pour être précis, à l'Hôtel de Police de Grenoble. Soit mercredi 23 avril 2014 à 11h30, après plus de quatorze heures de garde à vue. Le temps que John Hodgkinson réponde aux accusations farfelues et qu'on les consigne dans un procès-verbal, le 'magistrat de service' était parti déjeuner. A son retour, après 14 heures, il lui a fallu une petite heure pour consulter ses textes et lever la garde à vue. "Apparemment, vous aviez raison, Mr Hodgkinson !" reconnut Madame le capitaine de police. Mieux vaut tard que jamais ! Une plainte pénale sera inéluctablement déposée contre cet imbécile de Coquillat. L'arrestation arbitraire, car c'est bien de cela qu'il s'agit dans ce cas précis, est punie de sept ans d'emprisonnement et de 100 000 euros d'amende (article 432-4 du Code Pénal). Nous sommes ici face au (petit) grand banditisme et au trafic d'êtres humains déguisé en ministère public. Et pendant que Coquillat tente par tous les moyens - légaux ou pas, au point où il en est, qu'est-ce que ça peut lui faire ? - d'étouffer l'affaire des 'Disparus de l'Isère', Proby, son ami pédocriminel et principal suspect dans le dossier, continue à violer des gamins en toute impunité.

Tout ce cinéma était censé nous impressionner. Désolé, mais c'est manqué, pauvre imbécile ! La lutte continue, et nous ferons payer très cher tous ces crimes et complicités. Pour l'instant, c'est les hors-la-loi qui tiennent le haut du pavé dans la triste ville de Grenoble, capitale de la racaille et de la pédocriminalité. Cela ne durera pas. Tout est consigné, et les auteurs des infractions seront sanctionnés tôt ou tard. Ils multiplient les délits, et ils le font au grand jour. La justice - la vraie - passera. Quand Maryline Janvier dit que "la justice se moque de nous", c'est d'individus comme Coquillat qu'elle parle et de tout le système pourri qui leur permet de prospérer. Ce système, on va le renverser. Au nom de l'état de droit.

Deux jours plus tard, le cinéma a continué à l'audience du vendredi 25 avril 2014. Trois juges menteurs et corrompus, assistés d'une substitut fripouille tout à fait à la hauteur de la sordide situation. "L'article 459 du Code de Procédure Pénale dit que le prévenu doit déposer des conclusions qui sont visées par le président et le greffier si des exceptions de nullité sont à soulever !" Complètement faux, madame la menteuse. Le texte dit "peuvent déposer des conclusions" et non pas "doivent" déposer. On change les mots pour passer outre la loi. Une semaine plus tard, à la lecture de son 'bon jugement', Madame le Président annonce que les exceptions de nullité sont rejetées "car vous ne les avez pas soulevées en début d'audience". Encore une fois, on modifie les textes afin de contourner la loi, en l'occurrence celle de la presse (loi du 29 juillet 1881). Les exceptions de nullité doivent être soulevées avant tout débat sur le fond, ce qui a été le cas. Vérifier l'identité du prévenu, lire son casier judiciaire et lui demander de préciser sa situation actuelle (état civil etc.) ne constitue pas le "débat sur le fond" ! Ce sont des délinquants en col blanc qui disent des mensonges alors qu'ils sont censés dire le droit. Nous vous fournirons leurs noms une fois copie du 'jugement' reçu. Mettre en délibéré un jugement pour une semaine après l'audience, c'est insolite. Cela ne peut signifier qu'une seule chose : le jugement est connu d'avance. Il faut juste quelques jours aux magistrats félons pour dénaturer les éléments de procédure afin de justifier leur forfait. Cela peut s'assimiler à une modification de l'état des lieux d'un crime, le crime en question étant le simulacre d'audience publique. La substitut (de Coquillat) a requis six mois ferme contre John Hodgkinson, donc une peine de six mois ferme a été prononcée une semaine plus tard. C'est simple ! Ils sont tous d'accord sur le but recherché (protéger Proby, violeur d'enfants depuis des décennies) et sur la méthode à employer (baillonner et intimider les témoins et les victimes). "Je suis en colère parce que la justice se moque de nous !" crie la maman de Ludovic Janvier. Oui, sauf que ce n'est pas de la justice qu'il s'agit à Grenoble, mais d'une association de malfaiteurs. Et on finira par les faire coffrer.

Appel a bien sûr été interjeté de cette 'décision de justice'. Et nous gagnerons en appel. En attendant, nous tenons à remercier tous les policiers et gendarmes, de Grenoble et d'ailleurs, qui nous ont exprimé leur soutien dans cette affaire ces derniers jours. Il faut être intraitable face aux policiers et gendarmes ripoux, ceux qui pourrissent l'existence de l'immense majorité de ces hommes et femmes intègres engagés par vocation dans nos forces de police afin de servir la nation. Etre fils (ou fille) de policier ou de gendarme intègre est une excellente école de vie. On apprend un principe de base qui constitue un des fondements d'une société démocratique : que la loi est la même pour tout le monde. Le redressement de la France passe par la mise en oeuvre de ce beau principe actuellement bafoué par des crapules comme Coquillat. Nous allons donc continuer à oeuvrer dans ce sens.

A ce propos, au milieu de tout ce honteux micmac et sur un plan très personnel, John Hodgkinson tient à exprimer sa reconnaissance envers un policier intègre bien de chez lui (futur commissaire de police, deuxième à gauche au deuxième rang sur la photo) pour lui avoir inculqué de tels principes très démocratiques. Ca peut servir pour la suite de son affaire ...

"Thanks, Dad !"

Le 3 mai 2014.

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