De Benjamin Freedman à Noam Chomsky : Des 'Apostats Juifs, Mus Par La Haine De Soi.'

Il faut arrêter de taper sur les Juifs et les Arabes ! Toutes ces notions de 'choc des civilisations', comme le démontre avec lucidité Thierry Meyssan ailleurs sur ce site, ne sont faites que pour fomenter la guerre au profit de la minorité d'Illuminati qui règne sans partage - et sans pitié - sur l'humanité souffrante et opprimée. Benjamin Freedman fut élevé comme 'Juif non pratiquant'. Il vivait à New York et devint un homme d'affaires très efficace et très riche. Il fut témoin, et même un peu acteur, des manipulations qui permirent aux Talmudistes de dominer la politique et les médias des Etats-Unis. A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, il fut écoeuré par ce à quoi il avait assisté, et il devint dès lors un 'transfuge du Sionisme'. Il décida de révéler tout ce qu'il pourrait. Il rompit avec le 'judaïsme' et se convertit au catholicisme. En 1946, il fonda la 'Ligue Pour La Paix Et La Justice En Palestine', puis passa le reste de sa vie, et dépensa une grande partie de sa considérable fortune, à lutter contre la tyrannie sioniste qui enserrait les Etats-Unis. Il consacra à cette activité plus de deux millions et demi de dollars, tirés de son portefeuille personnel. Benjamin Freedman était richissime et il disposait d'un carnet d'adresses exceptionnel. Ce sont sans doute ces deux facteurs qui l'ont maintenu en vie. Le magazine 'Commentary', publié par le Comité Israélite Américain, l'appelait régulièrement 'le Juif antisémite'. Arnold Foster, un haut fonctionnaire de la Ligue Anti-Diffamation du B'nai B'rith (une sorte de CIA privée, travaillant pour le compte d'Israël et qui épie les faits et gestes des patriotes américains) a défini Benjamin Freedman comme un "riche apostat juif, mû par la haine de soi". Car, lorsqu'un 'Juif' non-talmudiste a une critique à faire sur les 'Juifs' talmudistes, il est inévitablement mû par la haine de soi, il n'y a pas, il ne peut y avoir d'autre explication possible. Au fait, Benjamin Freedman nous explique, dans l'article 'Les Khazars, Ces Turcs Déguisés En Juifs', à lire ailleurs sur ce site, que les 'Juifs' en question n'en sont point du tout. Ce sont plutôt des Khazars. Il faut donc arrêter de parler de 'Mafia Juive', car une telle chose n'existe pas. Ménachem Begin et ses acolytes n'étaient point des Juifs, car n'ayant aucun lien historique avec la Judée ; ils étaient issus de cette ethnie turco-mongole que constituent les Khazars, et dont Nicolas Sarkozy, Eric Woerth et autres escrocs sont les dignes représentants. Pour citer l'Apocalypse III, 7,9 : "Voici que je produirai quelques-uns de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs, et ne le sont pas, mais qui mentent." Shlomo Sand, lui, est Juif. Si vous lisez l'extrait de son livre 'Comment Fut Inventé Le Peuple Juif', ou si vous visionnez les vidéos sur YouTube, par exemple, montrant les échanges plus que vifs entre Mr Sand et certains Khazars, vous commencerez à comprendre que la question est un peu plus subtile qu'on voudrait nous le faire croire. Ne tombez surtout pas dans le panneau. Car avec ces images d'Epinal, on nous prépare la Troisième Guerre Mondiale. Les problèmes des banlieues n'ont rien à voir avec l'Islam. Arrêtez de taper sur les Arabes, ils n'y sont pour rien. Posez-vous la question seulement : qui a intérêt à déplacer des populations de cultures si différentes, d'attiser les haines et les malentendus, de mettre en situation de nuire les 'jeunes' de nos cités ? Bien sûr qu'il faut réprimer la délinquance, et durement. Bien sûr qu'il faut préserver notre culture et notre identité nationale. Mais l'Islam n'enseigne point la délinquance ! La foi musulmane est réduite à quelques dogmes très simples : il existe un Dieu unique, créateur du ciel et de la terre, omniscient, universel. Le Coran est le 'bien commun' de la communauté. La langue arabe dans laquelle il a été écrit est la langue liturgique : la prière rituelle doit être dite en arabe. Selon la tradition, "tous les hommes sont égaux comme les dents du peigne du tisserand. Pas de différence entre le Blanc et le Noir, entre l'Arabe et le non-Arabe, si ce n'est leur degré de crainte de Dieu." L'éthique repose sur cinq piliers : 1. le témoignage de la foi (Allah est grand est Mahomet est son prophète) ; 2. la prière rituelle (cinq fois par jour) ; 3. le jeûne du Ramadan (un mois par an) ; 4. la dîme aumonière (qui assure l'entretien des pauvres et des orphelins) ; 5. le pèlerinage à la Mecque (une fois dans chaque vie si on en a les moyens). Ces piliers sont les fondements de la piété qui est 'Islam', ce qui veut dire 'abandon à Dieu'. Nous sommes loin de certains passages haineux et racistes du Talmud ! Noam Chomsky, tout comme son illustre prédécesseur Benjamin Freedman, est persona non grata dans l'état fasciste d'Israël, ce qui est déjà une référence. Cet Américain 'juif', linguiste de formation, nous explique ci-après de quelle manière une infîme minorité d'individus manipule et asservit la masse de l'humanité. Une fois qu'on le sait, on a le devoir de le faire savoir. Dans les articles figurant sur ce site concernant la manipulation des esprits, et notamment celui intitulé 'Mind Control & Abus Rituels', nous vous donnons certaines clés pour comprendre les enjeux de cette mystification à l'échelle planétaire. C'est bien pour cela que notre site fait régulièrement l'objet d'attaques de hackers au service des officines de l'UMP et de tentatives de fermeture par la Licra et autres organisations satellitaires de l'Etat fasciste d'Israël. Lisez. Copiez. Diffusez. Et vive la France !

John Hodgkinson. Lachamp Raphaël. Le 20 avril 2011.

 

Les dix stratégies de manipulation de masse – Noam Chomsky

 

(extrait de son livre 'Armes Silencieuses Pour Guerres Tranquilles')

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d'abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s'ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S'adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans ».

6/ Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion

Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. "La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures."

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d'être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.